200. Une histoire de décolletés ...

Un vieux papier que nous commettions le 24 avril dernier ...

    Ces jours-ci je découvre, c'est le hasard qui me l'a glissé entre les mains, et mes doigts m'ouvrent les pages, deux petites pièces de Carlo Goldoni La Locandiera, et les Rustres. J'ai découvert le marquis de Forlipopoli ; " Je suis qui je suis ." Margarita ; " Figurez-vous, figurez-vous. " et Lunardo ; " Pour dire les choses comme elles sont .. " ... Je vous en recommande la lecture aisée, rapide et plaisante.

    Je lis que Madame Royal par note interne interdit - elle s'en défend mais l'on sait que c'est la vérité - le décolleté dans les services de son ministère.

    Marisol Touraine, autre ministresse, dont les robes sont à mourir de rire, des robes effet hotte aspirante à la Marilyn, hélas il ne s'agit que des jambes de Marisol - qu'en pense Karl  Lagerfeld - elle, n'est pas contrariée par les décolletés légers et défend la décence d' Etat de ses personnels hommes ou femmes.

    Mon avis est que madame Royal n'a pas osé s'opposer aux shorts des femmes de son ministères qui les moulent à outrance, et dévoilent des jambes aux galbes confondants, ou aux jupes ras-le-bonbon qui libèrent tous les instincts susceptibles de transformer les pelouses des jardins du ministère en lieu de plaisirs où les bergers et bergères butineraient et lutineraient de manière durable .. Alors elle y est allée sur le mode soft, ciblant le décolleté, et pourtant, Dieu sait  si le décolleté ...

    Mais c'est déjà une vieille histoire, attendons l'été, nous aurons décolletés, shorts et jupes à l'oeil ..

    

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