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samedi 20 janvier 2024

Chapitre 20 Bronchite

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Samedi 20 janvier 2024

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16.29 4° . Et ce matin alors que je savais qu'à partir de demain les températures seraient plus douces et que je voulais sauter  ce week-end en raison de ma bronchite que je traîne depuis mon Covid, et malgré un moins quatre j'ai pris mon vélo, trois paires de chaussettes, sept épaisseurs et parti à 9.10 je suis rentré à 12.40 de ma randonnée vélo qui a été moins fluide, plus laborieuse et plus dure que celle de la semaine dernières sous un vent d'Est mais qui ne soufflait pas. 

Et ce matin marché aux lieu et heures habituels

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Vendredi 20 janvier 2023

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17.32 7° . Sous ma soupente. Le chat dort là sur le grand lit . Madame au rez-de-chaussée regarde sur la 6 le château de mes rêves. Levé ce matin à 6.45 et randonnée vélo de trois heures 21 par moins un, mais sans vent et à l'aller chaussée mouillée et glissante ... Parti à 8.15 j'en suis revenu à 11.30 et en ce milieu d'après-midi j'étais bien épuisé, cela va mieux. La poitrine me brûlait. Bonne randonnée malgré ce petit froid mais me suis arrêté parce qu'en bord de Loire côté Malkoff un garçon avait chuté en vélo et parce que j'ai fait une halte Livres à la boîte à livres de Sainte-Luce et parce que j'ai fait des photos sur le pont de Mauves. A mon arrivée Madame était en conversation avec Servane

    C'étaient les Thomas qui aujourd'hui gardaient Olympe..

18.38 5° . Je suis revenu de ma randonnée avec L'Odyssée d'Homère sous forme d'opuscule scolaire, un poche de Salacrou et je ne sais plus quel autre, et de la Médiathèque deux bouquins sur Montherlant, et un de Consuelo de saint Exupéry. J'arborais en début d"après mid mon manteau rouge et mon pantalon de velours noir..

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_____Mercredi 20 janvier 2016

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11.04

        Encore un mort célèbre, le cinéaste italien Ettore Scola, 84 ans à croire que les octogénaires et nonagénaires se sont donné les mots, imaginant même qu'ils se sont donné rendez-vous sur quelqu'Olympe, les bien heureux !

12.56 - 8°1 -

     Jour froid gris et  sans gloire . Je me laisse happer sur une nouvelle série que Netflix diffuse ; " The L word ", sur la sphère lesbienne, après un démarrage fastidieux, les épisodes prennent de la densité et deviennent captivants. 

      et cet article décoiffant paru sur le site du Point.fr sur la perception qu'ont les soldats qui interviennent sur les fronts lybiens, syriens, irakiens et autres ;

       Sous le titre « Violence totale », l'excellente revue théorique de l'armée de terre, Inflexions, propose dans sa dernière livraison une « galerie de tableaux des pires horreurs ».

      Le sujet autour duquel tourne ce dossier, présenté par le directeur de la revue, le colonel Hervé Pierre, n'est autre que l'opposition entre deux manifestations dont les hommes sont coutumiers : d'une part, la violence, cet étalon de « l'incommensurable inhumanité dont l'humanité est capable », et, d'autre part, la « force » maîtrisée, « dès lors que l'on se réfère aux valeurs cardinales que sont l'universalité de l'homme et le prix attaché à la personne, sa dignité, son intégrité et sa vie ».
     En d'autres termes, et pour schématiser à outrance, les terroristes seraient violents, quand les armées des États modernes – notamment celles de la France – maîtriseraient leur force. Dans la réalité, c'est un peu plus compliqué que cela, mais c'est le propos de ce dossier. 
     Notons que ce numéro avait été bouclé avant les massacres du 13 novembre 2015

     Dans une contribution synthétique et en ne se cachant pas derrière le manche de son hélicoptère de combat, le commandant Brice Erbland évoque « le processus homicide » qu'il a connu, en se livrant à une « analyse empirique de l'acte de tuer ». Depuis sa machine de guerre, il s'est trouvé, écrit-il, « amené à commettre plusieurs dizaines d'homicides », et veut engager une réflexion sur les conséquences de ses actes pour le combattant (survivant).

   Il distingue quatre écueils auxquels le soldat ne doit en aucun cas céder.
   -  Le premier est la vengeance. Au risque de « voir des ennemis partout [...], animé par la loi du talion, le soldat va chercher à tuer à tout prix pour apaiser sa souffrance, pour renforcer l'image de force de son unité ébranlée par une perte ». 
   -  Deuxième danger : l'« addiction à la destruction ». Erbland ne se voile pas la face. Au cours d'une pause durant la guerre en Libye, il s'est rendu compte en discutant avec un camarade que « le simple acte d'appuyer sur la détente et de voir un véhicule exploser [leur] manquait ».

   -  Le troisième avertissement de cet officier porte sur les conséquences de ce qu'on appelle parfois la guerre « à distance », qui ne concerne pas seulement les pilotes de drones, mais également les combattants pilotant sur le terrain des engins hypermodernes : « La complexité du système d'armes et la vision indirecte (au travers d'un écran) du champ de bataille peuvent engendrer un phénomène de distanciation par rapport à la réalité, qui veut que le tireur ne considère plus vraiment sa cible comme un être humain. »

  -   Enfin, souligne l'auteur, le soldat qui s'apprête à mettre à mort un ennemi « doit se détacher du fort contexte hiérarchique de notre institution pour analyser le bien-fondé de son acte ». Dans le cas contraire, il risquerait le dérapage : « Sous couvert de soumission à l'autorité peut s'opérer un décrochage moral, qui mène à la réalisation d'actes cruels et immoraux. » 
    C'est l'« effet Lucifer », que le médecin Patrick Clervoy définit dans la même livraison comme « l'incapacité pour un homme à percevoir sur le moment la cruauté et le malheur qu'il produit. Il y a un lien entre cette incapacité à percevoir la cruauté dans son groupe et l'indignation qu'il éprouve lorsqu'il la constate chez son ennemi. »

      Le soldat peut être conduit à tuer. À frapper, au nom de la démocratie et en respectant les ordres reçus, à condition, bien sûr, qu'ils soient légaux. Mais pas n'importe comment, rappelle le chef d'état-major des armées, le général Pierre de Villiers, sous le titre « Force et violence » : 

     « Le soldat doit porter les armes sans perdre son âme. Il ne doit pas tomber dans la violence à vouloir la combattre. Succomber au mimétisme du comportement, c'est faire le jeu des terroristes. » Il oppose « la violence qui sait choisir son moment pour frapper » à la « force, qui a besoin de temps pour produire ses effets ».

     Le premier des militaires français rappelle aussi une évidence : l'utilisation de la force armée n'est pas une fin en soi. Elle s'inscrit dans un contexte qui fait aussi appel à d'autres moyens pour renverser le cours de l'histoire en marche : 
     « La force militaire n'agit pas sur les racines de la violence lorsque celles-ci s'ancrent dans des problèmes d'identité, de culture ou d'éducation. Utilisée seule, uniquement répressive, elle peut même la nourrir. En réalité, la force militaire s'inscrit dans un environnement plus vaste que le seul champ de la violence guerrière. Elle doit composer avec des réalités culturelles, sociales, économiques, politiques. Seule une approche globale – c'est-à-dire une approche politique, au sens premier du terme –, qui intègre tous ces paramètres, et dont la force militaire est une des composantes, peut espérer venir à bout de la violence. »
   Dans le contexte actuel, notamment celui de la préparation d'une nouvelle guerre, contre Daech en Libye cette fois, ces réflexions sont bienvenues. Elles sont certes destinées au grand public, mais ne nous y trompons pas : c'est avant tout au chef des armées, le président de la République François Hollande, qu'elles s'adressent !
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        Terrible, vrai et passionnant ...

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Mercredi 20 janvier 2015


18.41.     Belle journée d'hiver mais pas aussi froide qu'en Norvège l'une de ces nuits dernières

           Dans le plus pur style hollywoodien, un jeune Norvégien a réussi à déjouer le vol de sa voiture en s'accrochant, en sous-vêtement et par - 17°C, au toit de son véhicule lancé à 90 km/h, ont rapporté aujourd'hui des médias locaux. 

    " Bruce Willis n'aurait jamais réussi cela ", a déclaré Jan Nesland, chef du commissariat de Randesund, près de Kristiansand (sud de la Norvège).

     Réveillé dans la nuit par le bruit du moteur de sa voiture qu'un homme tentait de voler, le jeune homme de 25 ans s'est rué dehors, en slip dans la neige. Après avoir agrippé une portière, il est parvenu à se hisser sur le toit de la voiture où il est resté sur une distance de plusieurs kilomètres à pleine vitesse avec des pointes estimées à 90 km/h, a expliqué Jan Nesland à la chaîne TV2.

   L'homme a ensuite réussi à briser le pare-brise  arrière avec son genou et à maîtriser le voleur, la voiture finissant sa course dans une glissière de sécurité sur un pont. " Ce n'est pas ce que nous recommandons aux gens de faire mais, maintenant qu'il l'a fait, c'est une histoire incroyable ", a précisé le policier à TV2

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20 janvier 2014

   Tous les hommes sont piteux, y compris les séducteurs lorsqu'ils sont seuls et non en scène devant une idiote émerveillée. - Albert Cohen. Belle du Seigneur.  Chapitre XXXV
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139 18 mai

.  Samedi 18 mai 2024 . 9.20 14° Je ne peux pas dire que ce soit la forme. Je me suis couché hier soir un peu fébrile, un peu fiévreux m'...