dimanche 8 septembre 2019

Jeu08919 . Edgar Morin

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Edgar Morin et 

   établissement d’hébergement pour personne âgée dépendante … 
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L’autre soir dans l’émission de la 5  » C à Vous  » je regardais et j’écoutais Edgar Morin 98 ans … je regardais et j’écoutais ...

Certes le vieillard est grand même si le jeune homme est beau, mais l’âge est là et le décatit, le visage émacié et la peau qui se parchemine d’un corps qui a longuement vécu et qui dit ;  » ça va suffire !  » et Edgar Morin le dit lui-même :  » Si à l’extérieur je parais bien, à l’intérieur je sens le poids des ans qui pèse ...  » Ce ne sont pas ses mots exact mais l’exact esprit …

Et moi, soixante quinze ans, je m’amuse à rêver et malgré mes maux et mes sérieux avatars de santé je me dis :  » Diable ! Quatre vingt-dix huit ans, si je pouvais encore un peu … Quelques années encore penser, écrire,lire, marcher, apprécier … Un peu … et échapper à l’établissement d’hébergement pour personne âgée dépendante … «

Sans doute utiles, mais qui ne sont que trop souvent, en raison du manque de vocation – un peu compréhensible – et donc de motivation des personnels que des maisons de réclusion à perpétuité voire de redressement pour vieillards rebelles ….

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Dimanche 8 Septembre 2019 – 7.29 –

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mercredi 4 septembre 2019

Lever

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Mercredi 4 septembre 2019 7.28

La poisse du lever 

   Je me lève, je me suis levé. Il faut se lever. Bon je suis levé je ne vais pas en faire trois pages, nous sommes des milliards à nous lever, et des milliards à nous coucher dans le même temps, on se lève, on se couche, on fornique, on prie, on rame, on ... On fait l'amour, on fait la guerre, quel salmigondis le monde et la terre tourne ... il fait frais du quatorze degrés petite laine pour aller à l'école, mais je n'y vais plus à l'école, moi je suis au poulailler au poulailler au poulailler des vieux, las ! je ne ponds pas je n'ai jamais pondu c'est naturel en somme je suis un homme.

   Je viens de vérifier l'orthographe de poulailler que je ne savais plus écrire j'avais ajouté un i un i  comme le i de la lune comme un point sur un i ...

   Ah les levers du Roi, mais je ne suis pas un Roi et si je l'avais été voilà longtemps qu'on me l'aurait coupée... La tête !

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lundi 2 septembre 2019

2 septembre

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Lundi 2 septembre 2019 9.50

Rentrée

   Rentrée de 12 Millions d'élèves et préparation à la Sortie pour 15 Millions de personnes âgées de 60 ans et plus ...

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vendredi 30 août 2019

30 août

Vendredi 30 août 2019 17.39 26.2°

Récréation - Mort

   Elle ne va fermer que le Huit septembre mais avec des horaires 12 - 14  sauf mercredi prochain et le samedi et le dimanche de fermeture mais mercredi je serai indisponible et le week-end de fermeture j'aime pas ... des horaires qui ne m'agréent pas ... Je parlais de la piscine dans laquelle j'ai nagé entre 13.30 et 16 heures.

   Et le soleil était là, et il y avait du monde ... et je me suis exposé et je n'ai pris d'insolation... Et c'est la rentrée des classes et la continuation des vieux qui cependant les uns après les autres tombent des branches du haut de leurs quatre-vingts ans et quelques ... pour eux l'heure de la grande récréation a été sifflée ...

    Et l'on entend déjà retentir l'écho de la voix là-bas tout au bout, tout au bout du couloir sonore et percutante ; Au Suivant !

1 août


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Vendredi 1e août 1975

Philippe Sollers ( 39 ans ) à Dominique Rolin ( 62 ans )

   "  Mon amour, 

     Je ne sais pas comment je fais mon compte, je trouve toujours le moyen d'avoir, à un moment donné, l'impression de n'avoir jamais rien fait, de vieillir à vue d'œil dans le ratage intégral, etc …

 C'est comme ça, on n'est jamais sûr de rien. Et, d'ailleurs tout de suite après, le calme, la certitude  du " laisser faire " etc  … Oscillations névrotiques. Quelle drôle d'histoire de se balader avec ce sac de voyage, le corps … On le lave, on le nourrit, on le baigne, on l'essuie … Qui ça " on " ?

    Cette mince petite lumière en sursis, là, dans le crâne ; cette petite lanterne magique sur les parois … Et " on " se remet à ses inscriptions , graffitis, ratures, pattes de mouche, ailes de moustique, lettres, syllabes, alphabet …

   Est-ce que ce n'est pas absurde ?

   Et pourquoi pour quelques lignes qui " passent " cette satisfaction herculéenne, comme si on avait déplacé vingt montagnes ? Ce n'est pas l'Himalaya qui est difficile, mais la syntaxe, et même pas la syntaxe le presque rien, l'intonation, l'accent,  la couleur qui n'existe pas, de l'envers …


   Mon Paradis est un énorme purgatoire infernal. Quelle drôle d'idée   de vouloirs " tout sauver " , le moindre caillou, le moindre caca, la bêtise elle-même. Doux animaux humains terrifiants, criminels, et capables de faire de la musique … Entre sang, rot, pet et théologie … Du chou-fleur à l'ange … De la broyeuse à Piero della Francesca … Du marteau-piqueur à Mozart, etc … Et ça recommence, et ça se répète, et ça n'en finit pas, er ça n'a peut-être jamais commencé, et ça n'a aucune importance, et c'est de la plus extrême importance … "

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Comme j'aime .fr

1 er juin 2019 
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Régime - bonheur 

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Le bonheur est parfois dans le pantalon

 Bon, certes, et malgré un carnet de santé aussi gonflé qu’un press-book pour une candidature au mannequinat, Pierre-Alphonse n’allait pas mourir tout tout de suite, certes peut-être dans la seconde qui suit, un vaisseau qui claque, bref .. et donc il en avait peut-être et probablement pour quelque temps encore à traîner son squelette un peu naze sur cette terre …

 D’ailleurs cet après midi il renaissait. Quatre, cinq ans peut-être qu’il ne pouvait plus entrer dans ses pantalons d’été, toc toc je peux entrer ? pas question regarde cet abdomen enflé et avalancheux. Pas fier Alceste …

 Or cet après midi il est entré dans tous ses pantalons, et avec de la marge, il pouvait encore passer une main dans la ceinture, ainsi l’on pouvait perdre en neuf mois une bonne quinzaine de kilogrammes sans passer par commej’aime .fr… il vous expliquera si un jour vous le rencontrez, homme caractériel mais très affable au demeurant

 Le bonheur aujourd’hui n’était pas au coin de la rue, mais dans le pantalon et n’y voyez aucune pensée maligne, dans le pantalon et certainement pas dans les petits plats de commej’aime.fr..


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Baudelaire

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Vendredi 30 août 2019 11.14 *-

Baudelaire - Testament - Enfants
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Il les plaint.

Il les plaint. Il plaint qui Alceste ? Il plaint ses enfants. Il les plaint parce qu’il ne va pas rédiger de testament, je hais les testaments et je hais les tombeaux disait Baudelaire , il ne va pas rédiger de voeux chers enfants je vous laisse, chers enfants je souhaiterais, chers enfants …

Il ne dirait même pas » Chers « . C’est un dur Alceste ...

Il les plaint pourtant. Clause de style.

. Sans même évoquer le bordel pardon mais parfois il faut dire les mots, sans évoquer le bordel que constitue sa cave en terre battue et qui mériterait de l’être encore davantage, tant elle stocke de mobiliers, de livres, de cartons non encore défaits des anciens déménagements … Puis ses journaux gardés et entassés, emboîtés, ses cartons à chaussures avec leurs fatras de crayons, de stylos, de machins, de trucs, ses cahiers ses grands cahiers à spirales sur lesquels il crayonnait les comptes-rendus des réunions de direction .. Toute une vie du moins une bonne part .

– A suivre  –

samedi 22 juin 2019

22 juin

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22 juin 2019
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J'avais quinze ans. ( Années 59 )
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 Mon premier manuscrit, une histoire d'espionnage, écrite sur des feuilles de cahier ordinaire grands carreaux, avec un crayon à bille bic encre rouge je l'ai écrite j'avais quinze ans, et c'est ma mère j'en suis convaincu qui l'a découvert et déchiré. La conne !

   Désolé maman mais tu le mérites. Maman je suis bien bon ! ma mère suffit . Le poète disait ; Tu es morte ma mère et j'en suis soulagé..

   Pourtant il n'y avait pas de sexe dedans à l'époque le sexe on n'y pensait même pas et nous avions quinze ans.

     Enfin j'avais dix-sept, dix-huit ans quand je fus toqué de poésie et je recopiai sur des espèces de fiches les plus beaux poèmes que je découvrais dans mes " Lagarde et Michard " les livres de français d'alors. 

    Et je les apprenais par coeur, cinquante-quatre ans après je peux chaque jour en décliner un qui me tient compagnie dans la rue, dans une salle d'attente, sur un lit d'hôpital, quand je souffre, quand je m'ennuie ou je cafarde ... 

   J'avais quinze ans ou dix-sept dix-huit ans ...

   Et par chance aujourd'hui cinquante-quatre ans après mon urne contient encore quelque sublime liqueur.


- Extrait des Mémoires d'un Rien -
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mercredi 12 juin 2019

Dieu

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Père Jérôme ; Religieux trappiste Suisse mort en 1985 - Ecrits monastiques

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31 août 1971

   Ami, pour la vie d'union avec Dieu, il faut à la fois beaucoup compter sur Dieu - car tout vient de lui, gratuitement - et agir avec beaucoup de ténacité - car les grâces ne sont données qu'aux généreux, aux sacrifiés, aux avides .

   Toujours à la fois deux attitudes ; premièrement, implorer avec soumission : " Sans vous, rien n'aura lieu, Seigneur ! " ( Saint Jean de la Croix ) ;  deuxièmement, déployer cette obstination douce en laquelle l'abbé Brémond reconnaît une caractéristique des " vrais mystiques ".

     Les efforts qu'on fait en vue de l'intimité divine sont un signe que Dieu veut nous donner cette intimité ! Chaque pas que nous faisons nous prouve que le chemin est déjà préparé par Dieu. Chaque acte de volonté par lequel nous choisissons l'union avec Dieu est un signe que nous sommes déjà désignés pour le divin privilège.

   Pascal ; " Console-toi, tu ne me chercherais pas, si tu ne m'avais pas trouvé ! " ou " Tu ne me chercherais pas, si tu ne me possédais. "

   Petit frère, vous ne laisserez pas galoper votre jeunesse ! Vous ne profiterez pas de votre éloignement pour profiter de votre liberté. " Profiter ", l'affreux mot, antimonastique, et même antivaleur humaine.

   Rappelez-vous qu'une résolution sauvage se garde plus facilement qu'une résolution qui admet des exceptions. Donc, pour rester droit, soyez assez raide avec vous-même. Vous n'irez pas à la plage.

   Vous emportez dans vos bagages deux résolutions; La première après chaque communion  au divin Corps du Christ, consacrez une demi-heure à l'action de grâces ; La deuxième donner la première place à Notre Dame pour toutes vos demandes importantes. 
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10 novembre 1971



Mort. Henry Bauchau. Journal 2006 - 2012 . 1206/2019

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Henry Bauchau - Ecrivain belge, psychanalyste ... - a 93 ans en 2006

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2  février 2006

Je pense au témoignage qu'on me demande sur la mort.

J'ai quatre vingt-treize ans, il est évident qu'elle est proche, très proche même semble me dire l'aggravation de la faiblesse de mon corps que je ressens si fort cet hiver. Pourtant ce qui m'occupe vraiment c'est la vie dans sa difficulté grandissante et la continuation de mon travail. Il se peut que nous nous préparions à la mort sans le savoir.

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Il me semble que la mort n'est pas vraiment pensable, elle est dans notre corps, c'est une oeuvre de notre vie, parfois de notre folie. On peut penser à la mort comme à un évènement qui nous attend, tous, on peut méditer sur elle, sur son sens, mais comprendre vraiment ce qu'elle sera pour moi me semble hors d'atteinte.

[ ... ]

    Je puis revenir sur mes états antérieurs, essayer aussi  de prendre conscience du présent, mais dès que je me tourne vers le futur, c'est vers un " futur vivant ", si proche que soit ma mort. J'ai entendu annoncer de grandes espérances après la mort, j'ai entendu dire aussi : une seule vie suffit, l'idée de recommencer tout cela est terrible.

    Je constate que, sans doute à cause de mon éducation chrétienne, j'ai une certaine espérance après la mort. Espérance de quoi, c'est ce que je ne saurais dire.

   L'existence qu'on s'efforce de parer de sens divers que je ne récuse pas n'a qu'un sens : la vie. Les petits sens successifs dont nous avons besoin dans notre vie personnelle ou sociale ne peuvent que se fondre dans ce grand courant irrésistible.

   C'est là que la mort trouve son sens, la vie veut naître, croître, se manifester, mais les ressources sont limitées. Sans la mort, comment pourrait naître tout ce qui aspire à la vie ?

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Henry Bauchau Journal 2006 - 2012

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Henry Bauchau Journal 2006 - 2012
Quand j'arrive au terme de mes pensées je m'aperçois que je crois à la poésie. C'est la puissance qui soulève la vie, savez-vous que Lénine pensait ainsi ? ".

- Robert Dreyfus à Henry Bauchau ( Journal ) 1972 -
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Henry Bauchau a 93 ans en 2006

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22 janvier 2006

... L'homme qui féconde mais ne donne pas la vie.

... J'accepte la fin de tout, liée à la mort du corps, les regrets ne consistent que dans l'inachèvement de ce qu'on a accompli.

... L'espérance d'un après la mort ne doit pas être rejetée quand elle existe, mais elle n'est que le ressort de l'intuition. J'espère et j'attends, comme le petit garçon qui s''est installé à la place du père dans le lit maternel. J'attends d'être remis tendrement dans mon propre lit. 
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23 janvier 2006

... J'ai reçu une lettre de Suzanne Rycx ( ancienne infirmière ) ... ;

 " Je me suis éveillée ce matin baignée d'une illumination, comme si durant la nuit quelqu'un était venu m'apprendre une vérité que jusqu'ici je n'avais pas perçue ou reçue. Que nous portons en nous au coeur de notre être une lumière que rien n'a pu ni ne pourra éteindre, le mal que nous avons fait, nos manquements, notre tiédeur, les influences néfastes ou nuisibles, indépendante, elle vit, survit, plus ou moins vacillante, plus ou moins lumineuse, elle est et sera avec nous sans doute la part divine de ce que nous sommes et quoique nous fassions nous en serons le tabernacle. 

   Vous ne pouvez pas savoir la joie de cette découverte. "
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25 janvier 2006

   - 6° C ce matin. Je suis un peu sorti au début de l'après-midi. Après quelques minutes j'ai senti à mon essoufflement qu'il valait mieux rentrer. J'en ai eu un peu honte, j'en suis donc encore là. Mais oui et je le savais bien, ce n'est pas le corps entier qui a souffert une fois de plus de cette découverte de mon grand âge et de ses limitations, ce n'est pas l'esprit non plus. 

   Ce savoir est surtout pénible à mon seul narcissisme qui m'a toujours vu comme un athlète et souffre de mon déclin physique naturel.
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26 janvier 2006

   Je n'ai jamais vraiment réfléchi ni écrit sur la mort *, l'événement semble pourtant proche, mais je vis dans l'espoir du lendemain, même dans sa certitude.
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* Henry Bauchau né en 1913 est mort le 21 septembre 2012.

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dimanche 9 juin 2019

Juin pluvieux.

Dimanche 9 juin 2019 17.04

Juin 2019 - Dimanche de pluie

     Je rêvais d'un grand soleil, de brûlants rayons, d'une eau bleuetée, certes chlorée mais qu'importait, moi je voulais bronzer. Oui à mon âge. Chaque âge a ses plaisirs. 

     Je l'attendais cette ouverture de piscine en plein air. Celle des Dervallières à Nantes, côte Ouest. Au pied d'un quartier tendance racaille. Mais l'on s'y fait, mais l'on y vit même si, même si de temps à autre il a ses fièvres et brûle les voitures. Certes ma voiture n'a pas encore été brûlée, pourtant en juillet 2018 ça a bien failli puisque cinq ou six voitures ont brûlé dans ma rue, là où souvent je stationne la mienne. Un coup e de chance pour une fois.

   Mais revenons à la piscine. Elle devait réouvrir lors de l'été 2017.  Mais lors des travaux ils ont découvert que le  réseau de canalisations nécessitait une réfection de fond. Deux ans de travaux. 

   J'ai gâché mon billet croyant plus au soleil qu'en Dieu, malgré un ciel très chargé. Mais le soleil n'a point paru. Dois-je plutôt croire en Dieu. L'air devait être de l'ordre de 20 ° à peine et la température de l'eau m'a dit la guichetière était de 27 °. 

   En vérité j'y allais pour me faire rechocolater la peau afin de lui donner un hâle qui rendît mon corps moins répulsif et qui fît oublier  notamment les fanons des bras...   

   J'y suis resté une heure à peine plus, et en deux temps j'ai dû nager un bon quart d'heure. Bah ça m'a changé les idées, petite balade verdoyante, quelques poèmes en tête, petits grains de douceurs ...

   Dimanche de juin, dimanche de pluie, mais il ne pleure pas dans mon coeur.

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samedi 8 juin 2019

Dieu

Samedi 8 juin 2019 18.00

Dieu

     Dix-huit heures déjà. Et moi qui cherche Dieu partout. Et qui ne le trouverai pas.

   Ce jeudi passé nous échangions avec mes amis septuagénaires dont chacun croit encore qu'il a vingt ans et qui s'évalue, se jauge, sans trêve. Pourtant ne voyons-nous pas que ça tombe par strates, ainsi ces dernières semaines ne sont-ce pas des tranches d'octogénaires qui sont tombés des branches qui n'étaient pas celles de Sassafras ...

    Depuis toujours et notamment depuis ma cessation d'activités qui commence à dater - c'est fou comme les jours des vieux courent vite - je cherche Dieu. Je cherche Dieu dans mes lectures, et notamment celles des romans, des journaux intimes, des Carnets, des biographies, des échos de vies monastiques, mais rien.

   Et ce jeudi dernier autour d'un petit déjeuner après un bon footing nous en parlions encore, semble t-il à mon initiative. Mes quatre amis sont des catholiques bon teint, pratiquants et qui affirmaient douter toujours, disant même que tout ça Jésus et la Vierge et ... c'étaient des histoires, mais que l'on ne pouvait s'appuyer que sur la Foi, la foi pour croire.

  Bon je leur ai dit que désormais j'allais la fermer puisque qu'avec mon Dieu à la con je paraissais le fauteur de trouble qui les importunait et que la prochaine fois me concernant je ne mettrai au menu de nos échanges que la Trinité Sea Sexe and Sun.

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jeudi 9 mai 2019

N'emm ... pas la mer

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N'agacez pas, n'empoisonnez pas, n'emmerdez pas la mer, elle est capable de se venger. Et si vous continuez  à tourner la terre en dérision, un beau jour, elle vous éclatera de rire au nez .

- Jacques Prévert -
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139 18 mai

.  Samedi 18 mai 2024 . 9.20 14° Je ne peux pas dire que ce soit la forme. Je me suis couché hier soir un peu fébrile, un peu fiévreux m'...