vendredi 9 juin 2017

Vendredi 9 juin 2017

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Vendredi 9 juin 2017

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    20.12 21°2 Mademoiselle E *** est de permanence gardes à vue de 21 heures à 21 heures demain. Belle journée sans grosse chaleur. Madame ce matin est allée chercher sa carte grise à la préfecture et cet après midi est allée à la poste puis consulter Godard à dix-huit heures trente.


    Après déjeuner suis allé acheter mon journal faire mon loto et suis passé à la médiathèque rendre des bouquins que je n'ai pas lu rapportant trois bouquins de Paul Valéry. 

    Voilà court échange skype avec pseudo du maine et loire qui a fini par jouir.

J'éternue, cette nuit réveillé à quatres heures je pensais à ma jambe douloureuse et imaginais que la hanche en était la cause me conduisant à une future opération comme Odile Colet avant-hier ...

samedi 28 janvier 2017

Laurence Ferrari, la Bolo niaise



© Prisma Media Laurence Ferrari 

   Laurence Ferrari ne s’est pas fait que des copains dans les couloirs d’ITélé. Lors de la grève qui a paralysé l’antenne de la chaîne d’information du groupe de Canal + pendant de nombreuses semaines fin 2016, la journaliste avait expliqué qu’elle ne prendrait pas partie et avait notamment confié sur le plateau de C à Vu sur France 5, le 29 octobre dernier : 

   « Je ne peux pas faire grève car j'estime que le droit à informer et à être informé sont des droits inaliénables ».

   Une petite phrase qui avait suscité la colère de ses collègues qui lui reprochaient son manque de soutien évident. Ces derniers étaient d’ailleurs aussi en froid avec Audrey Pulvar, autre présentatrice de la chaîne, qui n’était pas non plus aller dans leurs sens. Malgré de nombreux départs de journalistes après ces semaines de grève, ces deux dernières ont finalement décidé de rester  sur l'antenne. Laurence Ferrarinous en avait d’ailleurs confié les raisons :

    « Il y a forcément un moment où on se pose la question, mais moi j'ai très vite tranché. Ma base, mon socle, c'est C8, dont je suis salariée. J'y présente Punchline dont je suis aussi la productrice, j'ai des salariés qui comptent sur moi. Je suis là pour mener à bien ma mission jusqu'à la fin de l'élection présidentielle » avait-elle expliqué.

   Pour autant, depuis, des tensions seraient nés entre elle et la rédaction et celle-ci aurait même hérité d’un surnom pas très sympa. Selon le magazine Closer, la présentatrice dePunchline a été renommée " Bolo-niaise " par certains journalistes qui la soupçonnent tout simplement d'être proche de Vincent Bolloré, le grand patron de la chaîne info. Bonne ambiance…
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Source télé loisirs Virginie Hilssone
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vendredi 27 janvier 2017

Marion Maréchal - Le Pen

   Le texte sur la pénalisation de la « désinformation» sur l'interruption volontaire de grossesse ( IVG ) est retourné devant l'Assemblée nationale. 

   La proposition de loi, qui doit de nouveau être soumise au vote après son adoption par le Sénat mais avec des modifications, a encore une fois provoqué une passe d'armes entre opposants et partisans du texte qui propose une extension du délit d'entrave à l'IVG.

    Le 26 janvier 2017 en plein débat parlementaire, Marion Maréchal-Le Pen a ainsi riposté aux propos de la présidente de la commission des Affaires sociales, Catherine Lemorton.

   « Ne vous en déplaise – et je me permets cette impudeur parce qu'elle est de notoriété publique – vous avez devant vous un accident qui se vit bien », a lancé la députée du Front national, en faisant référence à son histoire personnelle, exposée en 2013 dans l'hebdomadaire L'Express.

   Fille biologique du journaliste et diplomate français Roger Auque, mais élevée par Samuel Maréchal, 

   Marion Maréchal-Le Pen a ajouté : « Serait-il possible de m'éclairer quand vous expliquez qu'un enfant souffre que des parents puissent parler de lui comme d'un accident ? Que suggérez-vous ? Qu'il eût mieux valu qu'il fut avorté ? »

   La nièce de Marine Le Pen, présidente et candidate du Front national à la présidentielle 2017, a également fustigé les députées de la majorité, des « féministes ringardes » et des « dinosaures politiques d'un temps soixante-huitard révolu ». 

   « Personne aujourd'hui dans le spectre politique ne menace la légalité de l'avortement ou son libre accès », a-t-elle affirmé, après avoir suggéré il y a quelques semaines de limiter le remboursement de l'interruption volontaire de grossesse.

   La proposition de loi examinée, qui vise à pénaliser les sites de « désinformation » sur l'IVG, est un texte « contre les femmes et contre la liberté d'expression », a ajouté l'élue du Vaucluse, rejoignant les critiques des députés Les Républicains ( LR ) présents dans l'hémicycle. La députée du Front national a par ailleurs indiqué : « Beaucoup de femmes avortent pour des raisons économiques, 47% selon un sondage IFOP de 2010 ».

   « Vous êtes la honte du combat des femmes, obsédée par la couleur du cartable, le sexisme de la grammaire, le jouet rose des Kinder, la répartition du temps de vaisselle dans le couple », a-t-elle encore lancé, en s'adressant à la ministre des Droits des femmes, Laurence Rossignol.
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Vendredi 27 janvier 2017

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Alain Juppé

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   Pas question de jouer le remplaçant de dernière minute en raison de l'affaire Penelope Fillon.

   Le maire de Bordeaux, Alain Juppé, a exclu, " clairement et définitivement ", d'être un recours dans l'éventualité d'un retrait du candidat de la droite à la présidentielle, François Fillon, qui l'a battu lors de la primaire.

    C'est ce que rapporte le journal Sud-Ouest, ce vendredi 27 janvier 2017.


   Pressé de dire s'il était un recours dans le cas où François Fillon serait mis en examen et se retirerait de la campagne, Alain Juppé été direct : " Non, clairement et définitivement. Parce que la primaire a eu lieu et que les électeurs se sont prononcés ".

     François Fillon y a assuré, jeudi soir sur TF1, qu’il renoncerait à la présidentielle s’il était " mis en examen " dans l’affaire de l’emploi supposé fictif de sa femme, Pénélope Fillon, employée comme collaboratrice parlementaire auprès de lui lorsqu’il était député.

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Vendredi 27 janvier 2017 12.04

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François Bayrou


    Et évidemment Bayrou le rat est sorti de son trou pestilentiel ...

      "  Cette affaire va lui coûter quinze points dans les sondages d’opinion. "


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Vendredi 27 janvier 2017 10.52

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François Fillon

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    L'ensemble du peuple de droite a été littéralement commotionné par l'affaire Pénélope Fillon, même ses adhérents le sont, et déjà l'hypothése de son remplacement germe au sein même de son parti ... Pauvre Françoise, pauvre Pénélope ...

    François Fillon, cuit pauvre oiseau plumé dans la marmite infâme de la démocratie, et Juppé Président ...

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Vendredi 27 janvier 2017 8.49
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jeudi 26 janvier 2017

20 Octobre. Roman Polanski

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20 octobre 2013
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   Le choix du cinéaste Roman Polanski, accusé de viol en 1977 pour présider la 42e cérémonie des César, a suscité l'indignation, le contraignant finalement à jeter l'éponge.

   " Il a été meurtri ", a expliqué Thierry Fremaux, sur RTL, qui lui a parlé au téléphone. " Meurtri " ? On ne sait si l'adjectif est assez fort pour mesurer ce qu'a pu vivre Samantha Geimer, la jeune fille, qui l'avait à l'époque accusé de l'avoir droguée puis violée à l'issue d'une séance photo.

   Samantha Geimer a vu elle aussi sa vie dévastée après " l'affaire ". En 2013, nous l'avions rencontrée. Récit.

     C'est donc elle. " La Fille " de l'affaire Polanski. Samantha Geimer a bientôt 50 ans, mais, pour le monde entier, elle est restée la-gamine-de-13-ans-violée-par-Roman-Polanski. Et on ne peut s'empêcher de scruter son visage, à la recherche de celui, si terriblement juvénile, de l'adolescente qui, un jour de mars 1977, s'est retrouvée dans la maison de Jack Nicholson, sur Mulholland Drive à Los Angeles, pour une séance de photos avec le réalisateur de " Chinatown ". Il lui a fait boire du champagne, lui a donné un Quaalude (un sédatif), puis il a abusé d'elle. Dans le jacuzzi.

   Ce soir-là, en rentrant chez elle, Samantha écrira dans son journal intime : " Roman Polanski m'a prise en photo aujourd'hui. Il m'a violée, merde ! "

   Samantha Geimer s'est longtemps cachée. Elle vit à Hawaï, loin de ce passé qui ne veut pas la lâcher. Ce n'est pourtant pas le visage de l'homme qui l'a violée qui la hante. " Si je devais choisir entre le viol et revivre ce qui s'est passé après, je choisirais le viol ", lance-t-elle, provocatrice.

   Pour Samantha Geimer, l'enfer a longtemps été peuplé de policiers, avocats, juges qui la harcelaient, lui demandant de raconter cette soirée : la pénétration anale, les taches sur sa petite culotte couleur rouille - pièce à conviction n° 5 que se disputeront la défense et l'accusation. Et il y avait les journaux racontant des horreurs sur elle, sa mère, sa famille.

   " J'étais présentée comme la petite salope qui voulait profiter du réalisateur célèbre, et ma mère comme la maquerelle n'hésitant pas à monnayer sa fille pour faire carrière."

   Aujourd'hui, Samantha Geimer reprend la main. Elle sort un livre, donne des interviews. Retour d'une semaine en Australie, pour la tournée promotionnelle, elle s'est arrêtée à Francfort, où " le Nouvel Observateur " l'a rencontrée. " C'est la première fois que je faisais un vol long courrier ! " confesse-t-elle. Son mari, Dave, arpente les couloirs, prend des photos " pour l'album souvenirs ". Il dit qu'il est " très fier d'elle ", trouve formidable qu'enfin " elle parle pour elle-même ". Dans quelques jours, ils seront à Paris. Samantha fait la brave, mais avoue : " J'ai un peu peur. C'est là où il habite, il est tellement apprécié chez vous..."

   " Il ", c'est Roman Polanski, ou plutôt " Roman ", comme elle l'appelle. Dans sa bouche, ce " Roman" familier, presque cordial, semble invraisemblable. "

   Ils ont des rapports empreints d'une grande courtoisie. C'est assez étonnant ", note Hervé Temime, l'avocat du cinéaste. Samantha Geimer le répète en boucle : elle souhaite que les poursuites à l'encontre du réalisateur soient abandonnées. Elle lui a pardonné.

   " Ce pardon, on me l'a souvent reproché. Je ne souffre pas du syndrome de Stockholm. Je lui ai pardonné pour moi, pas pour lui. Tout le monde veut me voir traumatisée, brisée, mais c'était il y a trente-six ans, maintenant, ça va, merci. Et tant pis si je ne suis pas la victime idéale, celles que veulent voir les médias ou le procureur."

   Samantha semble parfois éprouver une certaine commisération pour l'homme qui a bouleversé sa vie. " Non, ce n'est pas de la compassion, plutôt de l'empathie. Quand il a été arrêté en 2009, nous aussi, nous avons été encerclés par les paparazzis et obligés de débrancher notre téléphone. Tout est remonté. Je me suis revue, gamine de 13 ans, terrorisée par ce qui me tombait dessus."

   Le 10 mars 1977, après avoir appris ce qui s'était passé ce soir-là, la mère de Samantha porte plainte.

   A Hollywood, Roman Polanski est une star. C'est le veuf de Sharon Tate, assassinée par le fou furieux Charles Manson, et le réalisateur sulfureux de " Rosemary's Baby ". Six chefs d'accusation sont retenus contre lui : " Fourniture de substance réglementée à une mineure, actes obscènes sur un enfant de moins de 14 ans, relations sexuelles illégales, viol par usage de drogue, perversion et sodomie."

   Les parents de la jeune fille veulent à tout prix éviter le procès pour la protéger. Son avocat négocie avec le juge et la partie adverse une procédure de plea bargain : Roman Polanski accepte de plaider coupable, mais seulement pour l'accusation la moins grave, la " relation sexuelle illicite avec un mineur ", en échange de l'abandon de toutes les autres charges. " Oui, il s'en tirait très bien. Mais mes parents se fichaient de le voir en prison. Ils voulaient surtout qu'il reconnaisse qu'il était coupable. Et qu'on en finisse au plus vite ", explique Samantha Geimer.

   Polanski passe quarante-deux jours dans la prison californienne de Chino. La situation se présente au mieux pour lui, au vu des rapports psychiatriques. L'un évoquera même une situation d'" érotisme ludique partagé ", tandis que l'autre vantera la " grande sollicitude " de l'agresseur " concernant une éventuelle grossesse ". " Un euphémisme intéressant pour " sodomie", résume sardoniquement Samantha dans son livre.

   On connaît la suite. Le juge étant revenu sur sa décision de le libérer, Polanski s'enfuit en Europe. Malgré un mandat d'arrêt international lancé contre lui, il ne sera jamais inquiété... jusqu'en 2009, quand les autorités suisses l'arrêtent alors qu'il se rendait à une rétrospective donnée en son honneur. Les Etats-Unis demandent son extradition, laquelle sera refusée par la Suisse quelques mois plus tard. " En 1977, on a eu affaire à un juge qui se préoccupait plus des médias que de la justice. En 2009, c'était pareil. Steve Cooley, le procureur, a ressorti tout ça car il voulait faire sa pub. Comme je ne coopérais pas, il m'a accusée d'être vendue, parce que nous avions fait un procès au civil."

   En 1988, onze ans après le viol, Samantha Geimer poursuit Roman Polanski. " Je n'étais pas assez riche pour poursuivre en diffamation tous les tabloïds qui racontaient des horreurs sur moi. Et oui, avec trois enfants à charge, j'avais besoin de cet argent ", dit-elle sans ambages. Samantha Geimer n'a pas non plus apprécié de voir Polanski donner une version très personnelle de l'histoire dans son autobiographie : " Le procès, c'était une manière de lui dire : " Tais-toi."

   En 1993, elle obtient 500.000 dollars de dommages et intérêts. Polanski a interdiction d'évoquer les événements de 1977. Samantha, elle, s'engage à " l'aider dans la mesure du possible à résoudre ses problèmes légaux avec les Etats-Unis ", à "ne pas exploiter commercialement cette histoire ".

     Le pacte a été amendé avant la publication de son livre. Samantha a également très poliment demandé à " Roman " s'il serait d'accord. " Roman m'avait contactée quand il y a eu un projet de film, " Roman Polanski, A Film Memoir", qui évoque sa vie; et moi, j'ai fait pareil pour le livre." Samantha Geimer et Polanski ne se sont plus jamais croisés depuis le 10 mars 1977, mais le plus étonnant peut-être est qu'ils correspondent par e-mails. " On n'est pas amis. Mais c'est plus simple de se parler directement, plutôt que par avocats interposés."

   C'est Polanski qui a fait le premier pas. Après la sortie au début de 2009 du documentaire de Marina Zenovich, " Wanted and Desired ", qui exhumait l'affaire et dans lequel Samantha Geimer était interviewée, le réalisateur lui a envoyé une lettre d'excuses.

   " Cela a fait du bien à mon entourage. Ils ont pu tourner la page. Enfin, presque. Ma famille a été détruite par cette histoire. Ma mère n'arrive même pas à prononcer son nom. Elle s'en veut tellement d'avoir été si naïve, de n'avoir pas su me protéger. Mon beau-père, Bob, décédé il y a peu, ne s'en est jamais remis non plus. C'était un sujet tabou, on n'en parlait pas du tout."

   La publication en France de " La Fille " a été acrobatique. Le livre devait à l'origine être publié chez Michel Lafon, mais la fuite sur internet du titre provisoire " Moi, Samantha Geimer, 13 ans, violée par Roman Polanski " a provoqué un psychodrame. Tandis que les avocats échangeaient sur le mode " Etiez-vous au courant ? Mais absolument pas, je suis estomaqué ! ", Polanski a, selon nos informations, écrit à Samantha : " Chère Samantha, ce titre correspond à votre voeu ? " " Chère Samantha " a alors répondu à " cher Roman " : " Pas du tout, ce n'est absolument pas ma volonté. Je suis bouleversée. J'ai tout fait arrêter." Et c'est ainsi que Plon a remporté le contrat.

   Samantha Geimer raconte désormais son histoire, mais répète qu'elle " souhaite ne pas faire d'ennuis à Roman " (!). Difficile, pourtant, d'éviter de prononcer le mot qui fâche : " viol ".

   " A l'époque, je croyais qu'un viol, c'était lié à de la violence, de la brutalité. Lui, il ne m'a pas agressée, il ne voulait pas me faire mal. Mais j'ai dit non. Et j'avais 13 ans. Donc il n'y a aucun doute, c'était un viol. Comme il en arrive tous les jours. Sauf que moi, j'ai été violée par une célébrité." Souhaite-t-elle revoir son agresseur ? "

   C'est étrange. Je ne m'étais jamais posé la question avant. J'étais à Hawaï. Lui, en Europe. Est-ce que je veux le voir ? Je crois que je préfère ne pas y penser."

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Doan Bui

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Source Le Figaro Publié le 20 octobre 2013 à 08h42

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lundi 23 janvier 2017

023. 23 janvier

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Lundi 23 janvier 2017

     Il y a des journées à la con. 

   On se dit tiens et si l'on se suicidait, d'autres l'on fait, des vieux couples, ils s'allongent sur leur lit, s'enfournent la tête dans un sac plastique et souvent ça rate, ou l'un en réchappe et le drame tourne à la tragédie ... j'ai observé souvent que ces couples là s'aimaient et refusaient de vivre sans l'autre dont ils percevaient les dégradations, les déchéances ...

   Le sac plastique ne doit pas être le meilleur expédient, mais un lacet de chaussure bien long, bien tressé, bien tiré doit bien exécuter la chose ... On gonfle, les yeux s'exorbitent, des images de feu vous craquent le cerveau ...

  Ouais, bon, c'est dur de vieillir, il ne suffit pas d'aller acheter son petit journal, sa baguette de pain, faire sa petite course tous les jours comme ce vieux monsieur seul traînant des pieds, une espèce de voisin qui ne dit jamais bonjour et qui sort de sa cour dix fois par jour pour aller je ne sais où, l'autre jour je l'ai aperçu dans la laverie, il faisait tourner son linge peut-être le repasse t-il aussi .. 

   Une journée à la con, un tour pour m'acheter un machin pour courir, des graines pour les oiseaux, il fait froid encore, heureusement que Trump et la gauche sont là pour me divertir, voici au moins deux séries qui nous garantissent plusieurs saisons ...

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Lundi 23 janvier 2017 19.00



dimanche 22 janvier 2017

Un dimanche

  Le noir qui n'était pas un café
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Déjà neuf heures trente. Zéro degré. Temps impeccable. Je serais bien allé faire un tour de vélo. J'ai la flemme. Je n'irai pas à la messe de dix-heures trente comme depuis des années je suis trop noir. Je me suis levé vers sept heures, mais je vieillis sans doute.

    Je continue de lire la poésie de Victor Hugo. J'ai vu passer dans la rue, un jeune noir vêtu d'une doudoune noire, harnaché d'un lourd sac à dos, noir, qui marchait en chaussettes noires, il a bifurqué, j'aurais dû courir à sa recherche et lui parler, lui proposer quelque chose, café ou chocolat, chaussures, salle d'eau, repos ...

    J'ai passé l'aspirateur, madame hier soir a confondu Patrick Braoudé et Patrick Bouchitey s'entêtant à affirmer que le Braoudé de " Folle Amanda " interprétée en direct sur TF1 par la nullissime Bernier dans le rôle, était Patrick Bouchitey et l'on s'étonne après ça qu'une femme meurt des coups de son conjoint tous les trois jours.

   Oui c'est odieux, mais c'est mon cahier et j'y écris ce que je veux.

   Je n'irai pas voter à la primaire du parti socialiste ..

   Ceux qui me lisent se comptent sur les doigts d'une seule main. Et si je n'avais que quatre doigts ils se compteraient toujours sur les doigts d'une seule main. Et je sais parmi eux au moins une connaissance singulière assez voyeuse .. et pas nécessairement bien intentionnée...
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22012017 9.40

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Vieillesse

 La vieillesse, une malédiction.
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 La vieillesse avant d'être éventuellement un naufrage, est d'abord une malédiction, plus rien ne vit, plus rien n'éclôt, plus rien ne crée, et plus rien ne peut la consoler, nous consoler de son horreur sacrée ... La vieillesse punit, damne et désespère ...
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22012017 10.19

139 18 mai . Quatre vingt quatorze

.  Samedi 18 mai 2024 . 9.20 14° Je ne peux pas dire que ce soit la forme. Je me suis couché hier soir un peu fébrile, un peu fiévreux m'...